Et voici la suite du journal brodé !
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18 juillet 2014 :
Après avoir brodé le petit couple de gauche, j'ai repris la broderie de l'autre côté. J'ai brodé un motif en trois tons de mauve qui m'a fait pensé à un azulero portugais.
J'ai
fini aussi une série de petits motifs sur le bords droit en bas afin de
dessiner la courbe du cercle : quelques étoiles et un cœur en deux tons
de verts.
J'ai fait les deux tiers de la broderie : la finirais-je entièrement d'ici à la fin de l'année ?
Je me dépêche, car j'aimerais beaucoup la montrer aux brodeuses du club de Noizay à la rentrée !
Je me mets la pression !
***
19 juillet 2014 :
Le motif floral du milieu à droite m'a donné du fil à retordre.
Non seulement il y a quatre tons de couleurs, mais sous ses airs angéliques se cachent beaucoup de difficultés !
Il a encore fallu que je défasse... Et à chaque fois que j'ai été contrainte de défaire, j'ai pensé à Pénélope qui, en attendant son Ulysse, s'astreignait à défaire la nuit ce qu'elle brodait le jour !
Moi, à l'intar de la première brodeuse célèbre de l'humanité, je ne défais jamais par plaisir !
J'ai ausi brodé le dernier couple de ce Quaker.
Monsieur a un superbe haut de forme. Il a même poussé l'élégance jusqu'à le coordonner avec ses souliers.
Madame est en crinoline, j'ai même entendu la soie sauvage de sa robe crisser sous mes points.
Mais alors, Dieu qu'elle a de grands pieds !
Son cavalier n'a pas l'air de lui en tenir rigueur, car il lui déclare son amour en lui offrant une belle colombe.
Quelle galanterie !
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Non seulement il y a quatre tons de couleurs, mais sous ses airs angéliques se cachent beaucoup de difficultés !
Il a encore fallu que je défasse... Et à chaque fois que j'ai été contrainte de défaire, j'ai pensé à Pénélope qui, en attendant son Ulysse, s'astreignait à défaire la nuit ce qu'elle brodait le jour !
Moi, à l'intar de la première brodeuse célèbre de l'humanité, je ne défais jamais par plaisir !
J'ai ausi brodé le dernier couple de ce Quaker.
Monsieur a un superbe haut de forme. Il a même poussé l'élégance jusqu'à le coordonner avec ses souliers.
Madame est en crinoline, j'ai même entendu la soie sauvage de sa robe crisser sous mes points.
Mais alors, Dieu qu'elle a de grands pieds !
Son cavalier n'a pas l'air de lui en tenir rigueur, car il lui déclare son amour en lui offrant une belle colombe.
Quelle galanterie !
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